jeudi 29 novembre 2012

Résumé de mes actions: mon produit final

Mon plan d'action final portera seulement sur les techniques d'impact. En faisant mes lectures, j'ai constaté que certaines techniques d'impact introduisent et prônent la réparation. J'ai donc concentré mes efforts sur les techniques d'impact.  Lors de la présentation des kiosques, j'ai été surprise de constater que plusieurs de mes collègues ignoraient l'existence des techniques d'impact. Mon produit final a donc été modifié en fonction d'offrir davantage d'informations sur celles-ci. De plus, j'ai mentionné certaines techniques qui ont sues me charmer et que j'utiliserai en stage III.

Bilan de mes actions

-Participation au midi-gestion
-Participation à l'activité de planification avec Madame Ginette Martel
-Participation à l'activité donnée à la bibliothèque portant sur le tableau blanc interactif (TBI)
-Lecture de livres
-Discussion avec Christine Lebel

Recommandation de mes lectures

-Archambault, J & Chouinard, R. (2009). Vers une gestion éducative de la classe (3e éd.). Montréal : Gaëtan Morin éditeur.

-Beaulieu D, (2010). Les Techniques d'impact en classe. Les éditions Québecor,

-Chelsom Gossen, D. ( 1997) La réparation pour une restructuration de la discipline à l’école. Montréal : Chenelière/ McGraw-Hill.

-Chelsom Gossen, D. ( 1997) La réparation pour une restructuration de la discipline à l’école: guide de l'animateur. Montréal : Chenelière/ McGraw-Hill.

À expérimenter lors de mon stage III


Les techniques d'impact peuvent être utilisées par tous intervenants des milieux scolaires. Elles peuvent être utilisées avec les enfants, mais aussi avec leur parent. Les techniques d'impact de ne sont pas des recettes miraculeuses. Certaines techniques peuvent fonctionner du premier coup et d'autres devront être à modifier. De plus, avec certains enfants, ce type de gestion ne fonctionnera pas. J'ai eu de la difficulté à sélectionner celles que je voulais expérimenter.Pour la plupart, elles semblent intéressantes et réalisables. 


Les techniques d'impact sont une façon d'intervenir qui aura un effet instantané chez l'enfant pour qui l'image ou le geste lui est signifiant. Par ces techniques, plusieurs gestes ou objets sont utilisés pour vulgariser l'impact du mauvais comportement ou en terme de prévention. On dit souvent qu'une image vaut mille mots. Je me suis sentie interpellée par ces techniques puisqu'en plus d'être très visuelle, les techniques seront un moyen pour moi de m'assurer que mon intervention est signifiante et comprises de la part de l'enfant. C'est concret ! Nous avons beau avoir de long discours sur les façons d'agir ou de ne pas agir, mais si l'enfant ne se sent pas concerné, il n'y accordera peu ou pas d'importance.


Un billet de 20$: Pour en enfant victime de rejet ( individuel et collectif) p. 34 matériel: un billet de 20$
-L'enseignante présente un billet de 20$ à l'enfant et lui demande combien vaut se billet? L'enfant répondra assurément vingt dollars. L'enseignante froisse avec énergie, écrase et crie des insultes aux billet d'argent. Elle demande à l'enfant comment le billet vaut-il ? L'enfant répondra encore une fois vingt dollars. L'enseignante explique donc à l'enfant que même après ce que les autres élèves peuvent lui dire, sa valeur demeure la même. « Cette image s'avère généralement assez forte et parlante pour que le jeune prenne une nouvelle assurance et soit capable de maintenir sa confiance en lui en faisant preuve de détachement lorsque les autres tentent par la suite de le déstabiliser et de le rejeter.» (Beaulieau D., 2010,p.34)

Une feuille de cartable et ruban adhésif ( individuel) matériel: feuille de cartable et ruban adhésif
- Cette technique vise à ce que l'élève répare les mauvais comportements.L'enseignante demande à l'enfant à quoi sert du ruban adhésif (coller deux morceaux ensemble).  L'enfant aura à réparer une feuille de cartable qui est déchirée. Par les techniques d'impact, l'enseignante introduit la réparation.

Canette de boisson gazeuse matériel: canette de boisson gazeuse
-Cette technique a été inspirée de la conférence à laquelle j'ai assistée, dans le cadre du cours de gestion de classe et difficultés comportementales. L'utilisation d'une canette de boisson gazeuse sera  présentée à un enfant de style '' pop-up''. L'enseignant demandera à l'enfant de tenir la cannette et de la brasser. Pendant ce temps, elle discute avec de la situation. Après un moment, elle demande à l'enfant d'ouvrir la cannette. Celui-ci ne voudra pas l'ouvrir par peur que le boisson gazeuse explose. L'enseignante fera le parallèle entre le fait que lorsqu'il agit comme il a agit, il salit tout le groupe.

Ampoule électrique p.122 ( collectif) matériel : une lampe et une ampoule

-L'enseignante tient dans ses mains une ampoule électrique et elle interroge le groupe à savoir ce qui se passe lorsque cette ampoule n'est pas visée à la lampe, si la lampe n'est pas branchée à la prise électrique, si le commutateur est en position fermée. Ils répondront spontanément que l'ampoule n'allumera pas. L'enseignante leur dit donc que même si la lumière possède tout le potentiel d'énergie pour être une source d'éclairage, elle ne pourra pas éclairer si tous ces conditions ne sont pas réunies. L'enseignante fait donc un parallèle entre l'ampoule électrique et l'ampoule de l'esprit. L'ampoule de l'esprit est celle dans ta tête qui s'allume lorsque tu comprends une notion ou un concept que j'explique. Elle leur explique que tout comme l'ampoule électrique, l'ampoule de l'esprit peut rencontrer de petits problèmes et ne pas s'allumer comme par exemple elle peut demeurer fermée lorsque l'esprit n'est pas branché, lorsque la motivation est en position fermée, quand les méthodes de travail ne sont pas adéquates( elle est alors bien mal visée). Il est intéressant d'amener l'enfant à comprendre quels problèmes empêchent sont ampoules de s'illuminer.



À ne pas expérimenter lors de mon stage III

-Les consignes bêta
-L'arrogance
-Certaines techniques d'impact que je ne me vois pas mettre en pratique en milieu scolaire.








mardi 27 novembre 2012

Semaine du 5 au 9 novembre 2012- Les techniques d'impacts

Cette semaine, j'ai concentré mes efforts sur la lecture du livre: Beaulieu D. ( 2010 ). Les techniques d'impact en classe. Montréal: Les éditions Québécor.

Les techniques d'impact sont des moyens avec lesquels les intervenants en milieu scolaire ou encore les parents peuvent utiliser pour imager un comportement ou encore une attitude que l'enfant doit avoir. Au terme de mes recherches sur ce sujet, je considère que ces techniques sont très utiles pour vulgariser des comportements ou des attitudes à adopter. Cependant, elles ne consistent pas en une recette miracle. À l'approche de mon stage, je prévois en utiliser plusieurs d'entre d'elles. Le livre fournit une variété d'idées d'images, d'objets et de gestes à mettre en pratique.

 Les techniques d'impact consistent à stimuler la mémoire implicite de l'être humain.

1- Du connu vers l'inconnu
L'apprentissage d'un concept ou d'une notion nouvelle est davantage facile à assimiler lorsqu'elle est en relation avec un savoir déjà acquis. Dans ce cas, on parlera d'apprentissage à l'aide des connaissances antérieures pour favoriser l'apprentissage de nouvelles informations.  L'élève comprendra davantage ce que vous lui expliquer si cela a un sens pour lui. Par l'utilisation des techniques d'impact, l'enseignante utilise des objets ou des gestes connus qui serviront lors des discussions.

2- Soyez intéressant
Saviez-vous que la mémoire fonctionne en fonction de nos intérêts ? Hé oui !  Les informations qui seront emmagasinées dans la mémoire seront en lien avec ce qui nous intéressent. La mémoire retiendra aussi les images que vous présenterez à l'enfant surtout si elles sont en lien avec ses intérêts. Pourquoi ne pas mettre en valeur les intérêts de l'enfant et élaborer un parallèle qui sera hautement significatif pour l'enfant ?

3- Une image est toujours plus forte qu'un mot
On dit souvent qu'une image vaut mille mots.  C'est pourquoi qu'utiliser une image lors de la mise en application d'une de ces techniques a beaucoup plus d'impact chez l'enfant que si l'on lui avait  fait un long raisonnement sur le comportement qu'il a à modifier .« Auprès des enfants et des adolescents, l'image parle, résume et rappelle ensuite l'essentiel d'un nouvel apprentissage: plus l'image vient s'appliquer immédiatement au problème que le jeune doit régler, plus sa prise de conscience sera percutante et plus il lui sera facile de modifier son attitude.» (Beaulieu D., 2010 p.20)

4- Concrétiser les abstractions
« L'utilisation d'images ou d'objets qui appartiennent au domaine du connu pour désigner un comportement ou un problème présente l'avantage de rendre immédiatement concrets des concepts plus abstraits- comme le stress intérieur illustré par l'élastique.» (Beaulieu D., 2010, p.21)

5- Les courtes leçons sont plus facilement retenues que les longues
Changer un comportement d'un enfant ne se fait pas en criant ciseau. Il faut donc prendre le temps et morceler les éléments que l'enfant doit améliorer en lui donnant des stratégies pour l'atteindre. Dans le livre, une comparaison a été faite avec le principe que les éducateurs oublient malheureusement que plusieurs informations brèves sont plus faciles à retenir qu'un long discours. Peu importe la technique d'impact choisie, l'intervenant doit diviser les tâches en petites activités en formulant les consignes en petites unités faciles à retenir. (Beaulieu D., 2010, p.22)

6- Un tout est plus facilement mémorisé qu'un élément isolé
L'apprentissage de nouvelle informations se fait beaucoup plus rapidement si la personne est en mesure d'établir des liens entre elles qui les unissent. Dans le livre de Madame Beaulieu, elle donne une série de mots et explique qu'il est plus facile de les retenir en faisant une suite logique puisque cela permet à la personne de faire une image.

7-Adressez-vous à l'ensemble du cerveau
« Plus un message s'adresse à l'ensemble du cerveau, plus il s'enregistre profondément et efficacement: une approche multisensorielle, qui fait appel au langage, mais aussi à la vue,voire à l'expérience concrète, favorise ainsi une meilleure intégration des concepts.»(Beaulieu D., 2010, p.24).

8- L'allergie au critique
Nous avons tous tendance à utiliser un ton culpabilisateur ou punitif. Cependant, ce genre de critique n'aide nullement l'enfant à se fortifier et à apprendre de son erreur.

9- Rien ne peut remplacer les répétitions
« Les images, les objets et les signes détiennent le précieux avantage de rappeler  immédiatement à la mémoire de l'élève tout l'enseignement dont vous les avez chargés.» (Beaulieu D.,2010 p.26)

Bref, les techniques d'impact sont des techniques qui utilisent les images, des objets ou encore des gestes qui auront une signification particulière pour l'enfant. Ceux-ci faciliteront les interventions et diminueront les longs discours. Les outils utilisés ont un impact direct sur les comportements des enfants. Quand on dit une image vaut milles mots, les techniques d'impact le démontre belle et bien.

lundi 26 novembre 2012

Dans une classe

Voici un résumé des informations que j'ai reçues d'une enseignante en lien avec son utilisation concrète des TIC dans sa classe.
D'abord, elle a un TBI (ActivBoard) dans sa classe. Elle l'utilise tous les jours, surtout comme tableau blanc. À l'occasion, elle crée des «paperboards» et les élèves semblent adorer cet aspect du tableau. De plus, elle sent plus d'attention de la part des élèves grâce au TBI.
C'est un outil qu'elle aime beaucoup utiliser.
 De plus, dans la classe, ils ont neuf ordinateurs portables et un iPad en utilisation pour un projet pilote.

Bref, les technologies sont des outils qui lui permettent d'enseigner et de travailler avec les élèves.

dimanche 25 novembre 2012

Cours d'interventions avec Lise-Anne St-Vincent

Lundi 19 novembre 2012

Lors de mon cours d'interventions, Lise-Anne a donné de la théorie concernant les difficultés comportementales. Ce cours m'a permis de tout confirmer ce que j'avais ressorti comme informations au midi-pratique ou dans les livres.

- Il faut continuellement s'exercer pour pouvoir avoir une meilleure gestion de classe. Que ce soit au niveau de la formulation des consignes, du ton de la voix, du langage non-verbal, etc.

-De plus, j'ai fait des liens avec mes lectures lorsque Lise-anne disait de se préparer des scénarios d'interventions. Je vois donc l'utilité de faire de l'improvisation pour améliorer nos interventions.

Les techniques à ne pas faire:

-Il ne faut pas ridiculiser l'élève.
-Il ne faut pas demander à l'enfant pourquoi il a agit de la sorte.
-Il ne faut pas s'engager dans une dispute verbale.
-Il ne faut pas menacer l'élève.
...

J'aimerais ressortir un élément que Lise-Anne m'a dit, mais que je n'avais pas parlé encore. Il faut toujours garder une distance émotionnelle lorsque nous intervenons avec les enfants.

- Il ne faut pas s'emporter facilement lorsqu'un enfant nous blesse. Si c'est le cas, il faut prendre le temps de respirer pour pouvoir agir professionnellement avec l'élève.

-De plus, si l'élève voit que son commentaire vous fâche ou vous blesse, il pourra utiliser cette manière de faire pour vous déstabiliser. Nous avons vu dans mes lectures que les enfants repèrent facilement notre anxiété et notre enthousiasme. Il est donc facile pour eux de détecter nos émotions.

 

samedi 24 novembre 2012

Ce que je retiens....



Pour ce projet, j'ai décidé de travailler sur l'évaluation, car je ne savais pas du tout comment m'y prendre pour construire des grilles. Je voulais être en mesure de le faire pour le troisième stage. Au dernier stage, je prenais le matériel de mon enseignante, mais pour celui-ci j'aimerais en grande partie prendre le mien. Aussi, j'ai voulu rencontrer deux personnes afin d'avoir des visions différentes. J'ai rencontré une enseignante de l'université et une enseignante au primaire. Je suis heureuse d'avoir agi ainsi, car cela m'a apporté deux visions. Mélanie m'a parlé de ce qu'elle vivait directement sur le terrain. Elle m'a affirmé qu'elle ne faisait pas souvent ses grilles tellement elle avait d'autres tâches à effectuer. Elle m'a été quand même d'une grande aide comme elle utilise régulièrement les grilles. Madame Bélair m'a aussi apporté beaucoup. Elle m'a expliqué sa façon de voir l'évaluation et ainsi j'ai pu créer mes grilles avec des échelles qualitatives. Ce fut un grand plus comme tout complétait mes lectures.

Pour construire des grilles, il faut:

Savoir ce que l'on veut évaluer
Savoir à quel moment l'on va évaluer
Choisir le type de grilles appropriées
Choisir le type d'échelle
Trouver les critères
-les composantes des compétences
-les critères dans le PFÉQ
- les critères dans le Cadre d'évaluation
Mettre 4 ou 5 échelons
Utiliser une suite de verbes pour les échelons (qualitatif) ou des repères de quantité tels que: quelques, plusieurs, la plupart, certains, etc. (quantitatif)
Commencer par le B ou les extrémités
Le A est plus que ce qu'on attend de l'élève

Finalement, je crois qu'il est important d'utiliser la bonne grille pour la bonne évaluation. Avant d'utiliser une grille, il faut s'assurer qu'elles soient claires et précises. Il faut être à l'aise avec celle-ci. J'ai remarqué en rencontrant les deux enseignantes et en suivant le cours avec Madame Landry que chaque enseignante a ses préférences sur type de grille qu'elle utilise. C'est un sujet assez partagé.

jeudi 22 novembre 2012

Grilles réajustées (Louise Bélair)




À la suite de ma rencontre avec Louise, j'ai corrigé les grilles que j'ai faites selon les commentaires que j'ai reçus. Ma première grille n'est pas une grille d'évaluation, mais une grille d'observation. Celle-ci sert au soutien à l'apprentissage. L'enseignante peut ainsi voir ce que l'enfant connaît ou non. Je suis heureuse de m'être trompée, car j'ai pu apprendre à construire une bonne grille d'observation. J'ai donc mis des verbes pouvant être observés dans mes critères. Cette grille sert à la notion du plan cartésien, mais il est possible de s'en inspirer pour n'importe quels concepts.

Grille 1


                                 Grille d’observation                    2e cycle

Le plan cartésien

Nom de l’élève : ___________________________________


Les critères

Oui

Non
L’élève nomme les deux axes du plan cartésien.
L’élève pointe l’origine dans le plan cartésien.
L’élève place correctement les couples dans le plan cartésien.
L’élève lit les couples de nombres dans le plan cartésien.
L’élève écrit les couples de nombres correctement

                                                                                                    Résultat :


 J'ai eu plus de difficulté à corriger cette grille. Je comprends ce que Mme Bélair m'a expliqué. Par contre, je trouve cela difficile à appliquer. Je me rends compte que je suis beaucoup plus à l'aise à faire des grilles où les descriptions sont quantitatives et non qualitatives. Cependant, je suis d'accord avec la façon de faire de Mme Bélair. C'est une autre façon de voir l'évaluation.


Grille 2


                                                      Grille d’évaluation                                               2e cycle

Nom : _______________________________________


Compétence


Critères
A
Très satisfaisant
B
Satisfaisant
C
Peu satisfaisant
D
Insatisfaisant

Raisonner à l’aide de concepts et de processus mathématiques
1. Analyse adéquate de la situation d’application
L’élève analyse de façon précise les éléments et les actions qui lui permettent de répondre aux exigences de la situation.
L’élève décrit clairement les éléments et les actions qui lui permettent de répondre aux exigences de la situation.
L’élève explique quelques éléments qui lui permettent de répondre aux exigences de la situation.
L’élève nomme difficilement les éléments et les actions qui lui permettent de répondre aux exigences de la situation.
2. Application adéquate des processus requis
L’élève applique judicieusement les concepts et les processus mathématiques requis.
L’élève utilise les concepts et les processus requis de façon satisfaisante.
L'élève choisit quelques concepts et quelques processus utiles à la situation.
L’élève trouve un concept ou un processus utile à la situation.
3. Justification correcte d’actions ou d’énoncés à l’aide de concepts et de processus mathématiques
L’élève analyse sa démarche à l’aide de concepts et de processus mathématiques.
L’élève justifie sa démarche à l’aide de concepts et de processus mathématiques.
L’élève explique sa démarche à l’aide de concepts et de processus mathématiques.
L’élève laisse les traces de sa démarche.
Commentaire :




Résultat :

Grilles réajustées (Mélanie)


Dans un premier temps, j'ai retravaillé ma grille en univers social. Pour que celle-ci soit réutilisable, j'ai enlevé le titre de la SAÉ et le savoir qui y était rattaché. Cette grille pourra donc être utilisée au deuxième ou au troisième cycle durant le stage ou durant notre vie professionnelle. Dans un deuxième temps, j'ai retravaillé la grille de français. Celle-ci sera utilisable pour les situations d'écriture au 3e cycle. J'ai fait les changements de la grille selon les conseils de Mélanie et selon mes lectures. Pour ma part, il me semble beaucoup plus facile de corriger la production d'un élève lorsque l'échelle est quantitative. Cependant, je corrigerai la grille travaillée avec Madame Bélair de façon qualitative. Elle m'a appris une autre facette de l'évaluation.


Grille en univers social


                                           Grille d’évaluation

Nom de l’élève : _____________________________        




Compétence


Critères

A

B

C

D

E

S’ouvrir à la diversité des sociétés et des territoires
1. Indication des différences dans la localisation des territoires
Les différences dans la localisation des territoires sont mentionnées et très bien expliquées.
Les différences dans la localisation des territoires sont mentionnées.
Certaines différences dans la localisation des territoires sont mentionnées.
Plusieurs différences dans la localisation des territoires sont absentes.
Les différences dans la localisation des territoires ne sont pas mentionnées.
2.Énoncé des ressemblances et des différences dans l’organisation des sociétés et de leurs territoires
Les ressemblances et les différences dans l’organisation des sociétés et des territoires sont toutes énoncées et très bien détaillées.
Les ressemblances et les différences dans l’organisation des sociétés et des territoires sont énoncées.
La plupart des ressemblances et des différences dans l’organisation des sociétés et des territoires sont énoncées.
De nombreux énoncés sur les ressemblances et les différences dans l’organisation des sociétés et des territoires sont absents.
Les ressemblances et les différences dans l’organisation des sociétés ne sont pas énoncées.
3. Indication des forces et des faiblesses des organisations sociales et territoriales
Les forces et les faiblesses des organisations sociales et territoriales sont toutes très bien indiquées et expliquées.
Les forces et les faiblesses des organisations sociales et territoriales sont indiquées.
La majorité des forces et des faiblesses des organisations sociales et territoriales sont indiquées.
Beaucoup de forces et beaucoup de faiblesses des organisations sociales et territoriales ne sont pas indiquées.
Les forces et les faiblesses des organisations sociales et territoriales ne sont pas indiquées.
4. Recours à des arguments pertinents dans la défense de sa vision de la diversité des sociétés et de leur territoire
Les arguments sont très convaincants et permettent à l’élève de défendre son point de vue de façon détaillée.
Les arguments sont précis et permettent à l’élève de défendre son point de vue de façon satisfaisante.
Quelques arguments convaincants permettent à l’élève de défendre son point de vue.
Plusieurs arguments ne sont pas pertinents et ne permettent pas à l’élève de défendre son point de vue de  façon convaincante.
Les arguments sont difficilement nommés et permettent d’avoir un bref point de vue de l’élève.
Commentaire :


Résultat :



Grille en français



                                                                       Grille d’évaluation
                                                                                      3e cycle


Nom de l’élève : _____________________________         



Compétence


Critères

A

B

C

D

E

Écrire des textes variés
1. Adaptation du texte à la situation d’écriture
Le sujet, le destinataire et l’intention d’écriture sont particulièrement bien respectés dans la situation d’écriture.
Le sujet, le destinataire et l’intention d’écriture sont respectés dans la situation d’écriture.
Dans l’ensemble, le sujet, le destinataire et l’intention d’écriture sont respectés dans la situation d’écriture.
Il manque plusieurs éléments afin que le texte soit adapté à la situation d’écriture. (sujet, destinataire, intention d’écriture)
Les éléments présents ne respectent pas la situation d’écriture.
2. Cohérence du texte
Tous les thèmes sont abordés et très bien décrits.
Ils sont séparés judicieusement en paragraphes et nommés par des sous-titres. L’élève utilise plusieurs marqueurs de relation dans son texte, et ce de façon appropriée.
Tous les thèmes sont abordés et décrits.
Les thèmes sont séparés en paragraphes et nommés par des sous-titres.
L’élève utilise des marqueurs de relation et des termes substituts dans son texte, et ce de façon appropriée.
La plupart des thèmes sont abordés et décrits.
La plupart des thèmes sont séparés en paragraphes et nommés par des sous-titres.
Il y a quelques marqueurs de relation et termes substituts utilisés dans le texte.
Plusieurs thèmes ne sont pas abordés et ne sont pas décrits.
Le texte n’est pas séparé en paragraphe et il n’y a pas de sous-titres.
Les marqueurs de relation et les termes substituts sont très peu présents.
Le texte est très difficile à suivre.
3.  Vocabulaire 
Utilisation d’un vocabulaire standard et parfois soutenu.
Le vocabulaire est juste et très varié.
Utilisation d’un vocabulaire standard.
Le vocabulaire est juste et varié.
Utilisation d’un vocabulaire standard et familier. Le vocabulaire est assez juste.
Utilisation d’un vocabulaire familier.
Le vocabulaire est répétitif et imprécis.
Le vocabulaire est pauvre et très peu varié.
4. Construction des phrases et ponctuation
Les phrases simples sont bien construites et bien ponctuées.
Plusieurs sont complexes.
Les phrases simples sont bien construites et bien ponctuées.
Certaines phrases sont complexes.
En général, les phrases simples sont bien construites et bien ponctuées.
Certaines phrases sont complexes, mais mal structurées.
Plusieurs phrases simples sont mal construites et mal ponctuées.
Les phrases sont peu complexes.
Les phrases simples ne sont pas bien construites et/ou mal ponctuées.
Les phrases ne sont pas complexes.
5.  Orthographe d’usage et orthographe grammaticale

Le texte présente moins de 4% d’erreurs. *

Le texte présente de 4 % à 7 % d’erreurs. *

Le texte présente de 8 % à !0 % d’erreurs. *

Le texte présente de 11 % à 14 % d’erreurs. *

Le texte présente plus de 14 % d’erreurs. *
Commentaire :


Résultat :



* Ces échelons ont été pris sur le site : http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/publications/publications/EPEPS/Formation_jeunes/Programmes/DocInfoEpreuves_FLE_Fin2eCyclePrim_PrecisionsGrilleEval_2012.pdf